Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience de navigation et analyser notre trafic. En cliquant sur "Accepter tous", vous consentez à ce que nous utilisions des cookies. En savoir plus.
L’HÉRITAGE DE MAURICE BÉJART DE RETOUR À PERALADA, PLUS PRÉSENT QUE JAMAIS
L’année de la commémoration du dixième anniversaire de la mort du grand chorégraphe Maurice Béjart et du trentième anniversaire de la venue à Lausanne du ballet qui résidait auparavant à Bruxelles, la compagnie maintient plus vivant que jamais l’héritage de son maître. « Béjart fête Maurice » inaugurera la 31ème édition du Festival, et ce à deux reprises. Un spectacle de Gil Roman qui rend hommage à l’un des grands de l’histoire de la danse. Maître et disciple se retrouveront sur la même scène pour établir un dialogue à travers le mouvement. « t’M et variations » est la nouvelle chorégraphie signée Gil Roman. À travers cette dernière, le directeur artistique explique à celui qui fut son directeur ce qu’a vécu la compagnie au cours de ses 10 ans d’absence. La deuxième partie, avec le même titre que le spectacle, est un recueil de fragments de différents joyaux chorégraphiques créés par Béjart tout au long de sa carrière comme 1789... et nous, Héliogabale ou l’anarchiste couronné, Wien, wien, nur du allein, Light, Patrice Chéreau (devenu danseur) règle la rencontre de Mishima et d’Eva Peron, Dibouk, Hamlet, Rossiniana ou Bhakti. Le présent et le passé de la compagnie dans un même spectacle. Simplement superbe.
